La famille dans les aspects historiques et psychologiques

Андрей Тихомиров, Марина Попова

La famille dans les aspects historiques et psychologiques

Études sur les relations familiales

L'anthropologue Lewis Henry Morgan (1818-1881) a mené la première revue de la terminologie de la parenté utilisée dans le monde entier. Bien que la plupart de ses travaux soient maintenant considérés comme obsolètes, il a fait valoir que la terminologie de la parenté reflète différents ensembles de différences. Par exemple, la plupart des terminologies de parenté font une distinction entre les sexes (différence entre frère et soeur) et entre les générations (différence entre enfant et parent). De plus, il a fait valoir que la terminologie de la parenté établit une distinction entre les parents par le sang et le mariage, bien que certains anthropologues aient fait valoir que, dans de nombreuses sociétés, la parenté ne se définit pas uniquement par les termes "sang".

Les premiers chercheurs en histoire familiale ont appliqué la théorie biologique de l'évolution de Darwin à leur théorie de l'évolution des systèmes familiaux. Morgan a publié le livre The Ancient Society en 1877, basé sur sa théorie sur les trois étapes du progrès humain, de la sauvagerie à la Barbarie en passant par la civilisation. Le livre de Morgan a servi de "source d'inspiration pour le livre de Friedrich Engels, les Origines de la famille, de la propriété privée et de l'état«, publié en 1884. Engels a étendu l'hypothèse de Morgan selon laquelle les facteurs économiques ont provoqué la transformation d'une communauté primitive en une société divisée en classes. Le modèle général du développement de la famille à l'époque primitive consiste en «un rétrécissement continu du cercle qui englobe à l'origine toute la tribu et à l'intérieur duquel règne la communauté conjugale entre les deux sexes» (Engels F., l'Origine de la famille, de la propriété privée et de l'état, politizdat, Moscou, 1953, P. 46). La théorie du contrôle des ressources d'Engels, et plus tard de Karl Marx, a été utilisée pour expliquer les causes et les effets des changements dans la structure et les fonctions de la famille. Morgan a fait une distinction entre les systèmes de parenté utilisant la terminologie de classification et ceux utilisant la terminologie descriptive. Les systèmes de classification sont généralement compris comme ceux qui regroupent par un seul terme des parents qui n'ont pas réellement le même type de relation avec l'ego. Ce qui définit la parenté du même type selon de telles définitions semble être la parenté généalogique. Ceci est problématique étant donné que toute Description généalogique, quelle que soit sa normalisation, utilise des mots issus de la compréhension populaire de la parenté. Ce que la terminologie de Morgan distingue réellement, ce sont les systèmes de parenté (classification) qui ne distinguent pas les relations directes et secondaires, et les systèmes de parenté (descriptifs) qui le font. Morgan, un avocat, est venu à une telle distinction en essayant de comprendre la pratique de l'héritage chez Sénèque. Les biens de l'homme de l'époque Sénèque étaient hérités par les enfants de ses sœurs, et non par ses propres enfants.

Dans la première période de l'existence de l'humanité – à l'époque du troupeau primitif, lorsque les relations familiales n'étaient pas ordonnées et que les relations de parenté n'avaient pas d'importance sociale, la famille en tant qu'unité sociale n'était pas encore formée. À ce moment-là, avec un état général extrêmement faible des forces productives et un état amorphe de la société, il ne pouvait y avoir de liens forts et coutumiers entre les couples séparés qui se sont joints pendant un certain temps et entre les parents et leur progéniture. Ce n'est qu'au bord du paléolithique précoce et tardif, avec l'émergence du genre, que la première forme de famille est apparue – la famille de groupe la plus ancienne, dans laquelle tous les hommes du même genre-les fratries étaient les Maris potentiels de toutes les femmes d'un autre groupe similaire. La famille de groupe dans son développement a subi un certain nombre de changements: de la famille d'origine décrite, couvrant entièrement deux groupes ancestraux, à des formes plus complexes de classes matrimoniales, qui ont survécu encore au 19ème siècle.dans la population autochtone d'Australie.

«La science a établi que la différence fondamentale entre l'homme et les animaux s'est produite il y a environ un million d'années en Afrique du Sud. Les processus de mutation qui ont conduit au fait que dans les zones associées au développement du cerveau de la «zone de développement humain accéléré», l'emballage protéique de l'ADN a été reconstruit. Ces zones du cerveau des anciens ancêtres de l'homme se sont accidentellement retrouvées à côté des activateurs – amplificateurs de l'activité des gènes, ce qui a marqué un tournant dans l'histoire des personnes les plus anciennes. Mais ce hasard était aussi une nécessité, apparue, selon toute vraisemblance, avec le changement de la nourriture consommée par les anciens ancêtres, c'est l'utilisation de la nourriture cuite sur le feu qui a servi d'impulsion. L'Afrique est l'endroit où les premiers hominidés sont apparus – des êtres humanoïdes. Jusqu'à présent, la science partait du fait qu'il y avait trois vagues de migration de l'Afrique vers l'espace eurasiatique: il y a 2 millions d'années, c'était Homo erectus, il y a un demi – million d'années – les ancêtres de Néandertal et il y a 50 000 ans-nos ancêtres, Homo sapiens. Ils peuvent maintenant être ajoutés, au moins après l'analyse du matériel héréditaire, et la quatrième vague. C'était probablement l'homme de Denisov (Homo altaensis). Pendant longtemps, les scientifiques n'ont pas été d'accord sur l'endroit où l'homme est apparu sur le continent, que ce soit dans le parc National d'Awash en Ethiopie, dans les gorges d'Alduwai en Tanzanie ou en Afrique du Sud. Des théories ont été avancées selon lesquelles les anciens ancêtres des humains ne sont pas apparus dans un point spécifique de l'Afrique, mais sont apparus dans différents coins de l'Afrique. Maintenant, les scientifiques ont déterminé le lieu de la formation de l'homme – l'Afrique du Sud. Dans le processus de formation de l'homme, un rôle important a été joué par le fait que les ancêtres de l'homme utilisaient à la fois de la nourriture végétale et animale, c'est la période du paléolithique précoce. Une telle variété de nourriture a eu un impact énorme sur le développement de tout le corps des ancêtres humains et en particulier du cerveau. La pêche, développée depuis la fin du paléolithique, a également apporté à l'homme ancien de nouveaux aliments contenant des substances importantes pour son développement. Mais l'essentiel était que l'ancien homme maîtrisait le feu et commençait à y cuisiner: faire frire et cuire de la viande, du poisson, des plantes. Cela a été réalisé sur des charbons, dans des cendres chaudes, sur des pierres brûlantes, dans des fosses recouvertes de pierres. Ces formes les plus anciennes de cuisson ont été conservées pendant longtemps chez certains peuples d'Australie et d'Océanie. Les animaux, même les plus élevés, ont peur du feu et évitent de le rencontrer de toutes les manières possibles. Par conséquent, les aliments frits et bouillis ne peuvent être consommés que de temps en temps à la suite de déchets ou en volant de la nourriture à une personne. On sait que le séjour prolongé d'une personne ou d'un animal sur un régime alimentaire modifie la réponse sécrétoire des glandes aux stimuli alimentaires, ce qui est dû à un changement dans l'état fonctionnel du centre alimentaire. Le centre alimentaire est la formation du système nerveux central de l'homme et des animaux supérieurs, régulant l'apport de substances alimentaires dans le corps et leur traitement dans le tube digestif. Le concept d'un centre alimentaire a été introduit par IP Pavlov sur la base de la doctrine qu'il a créée sur les réflexes conditionnels. Le travail du centre alimentaire, en raison du degré de satiété du corps et des stimuli alimentaires, provoque le mouvement du corps pour la nourriture, la prise de nourriture et la libération de sucs digestifs. Comme le centre respiratoire, l'activité du centre alimentaire est périodiquement et régulée par des changements dans la composition chimique du sang, des stimuli associés à la prise de nourriture et des agents agissant sur les interorécepteurs du tractus alimentaire, ce qui affecte le cerveau " (tikhomirov AE, Quand et pourquoi une personne est-elle née? "Litres", Moscou, 2023, P. 1).

En règle générale, les sociétés avec familles matrimoniales préfèrent le logement non locatif – vivre dans un nouvel endroit; ainsi, après le mariage, une personne se sépare de la famille nucléaire de son enfance (famille d'orientation) et forme une nouvelle famille nucléaire (famille de procréation). De tels systèmes supposent généralement que le mari de la mère est également le père biologique. Le système utilise des termes spéciaux pour désigner la famille nucléaire et devient progressivement de plus en plus classifié à mesure que les parents deviennent de plus en plus secondaires.

Le système met l'accent sur la famille nucléaire. Les membres de la famille nucléaire utilisent exclusivement des termes descriptifs de parenté, identifiant directement uniquement le mari, la femme, la mère, le père, le fils, la fille, le frère et la sœur. Tous les autres parents sont regroupés par Catégories. Les membres de la famille nucléaire peuvent être directs ou secondaires. Les parents pour lesquels il s'agit d'une famille se réfèrent à eux en termes descriptifs, qui sont basés sur des termes utilisés au sein de la famille nucléaire, ou utilisent directement le terme "famille nucléaire".

Famille nucléaire

Frère: enfant de sexe masculin de l'un des parents.

Sœur: fille d'un parent de sexe féminin.

Père: parent de sexe masculin.

Grand-père: père d'un des parents.

Mère: mère de sexe féminin.

Grand-mère: mère d'un de ses parents.

Famille matrimoniale nucléaire

Mari: mari de sexe masculin.

Femme: femme.

Fils: enfant de sexe masculin d'un parent.

Petit-fils: fils d'un mineur.

Fille: fille de l'un des parents(s).

Petite-fille: fille d'un enfant.

Famille nucléaire non linéaire

Conjoint: mari ou femme

Beau-père: conjoint d'un parent qui n'est pas un parent biologique

Frère: soeur ou frère

Demi-frère: frère ou soeur avec lequel le sujet n'a qu'un seul parent biologique

Demi-frère: l'enfant d'un parent qui n'est pas un parent biologique

Un frère ou une soeur est un parent secondaire avec une élimination minimale. Pour les parents secondaires avec une distance supplémentaire, une génération plus éloignée d'un ancêtre commun du côté maternel ou paternel, plus de termes de classification entrent en jeu. Ces termes (tante, oncle, nièce et neveu) ne sont pas basés sur les termes utilisés dans la famille nucléaire, car la plupart d'entre eux ne sont pas traditionnellement membres du ménage. En ces termes, traditionnellement, il n’y a pas de distinction entre un parent collatéral et une personne mariée à un parent collatéral (à la fois un parent collatéral et un parent collatéral). Les cousins secondaires avec des déménagements supplémentaires de chaque côté sont les cousins. C'est le terme le plus générique, et il peut être distingué par les degrés de sécurité et par génération (suppression).

Lorsque seul ce sujet a pour suppression supplémentaire, tout le monde en ce qui concerne le sujet des parents, frères et sœurs, les termes tante et oncle sont utilisés pour les parents féminins et masculins, respectivement. Lorsque seul le Relatif a une suppression supplémentaire, les sujets relatifs des frères et sœurs de l'enfant, les conditions nièce et neveu s'appliquent pour les parents féminins et masculins, respectivement. Le conjoint d'une tante ou d'un oncle biologique est une tante ou un oncle et les nièces et nièces du conjoint sont des nièces et des nièces.

Lorsque le sujet et un parent subissent une suppression supplémentaire, ils deviennent cousins. Un cousin avec une distance minimale est un cousin, c'est-à-dire l'enfant de l'oncle ou de la tante du sujet. Les degrés de sécurité et de déménagement sont utilisés pour décrire plus précisément la relation entre cousins et sœurs. Le degré est le nombre de générations qui suivent un ancêtre commun avant que le parent de l'un des cousins ne soit trouvé, tandis que la suppression est la différence entre le nombre de générations de chaque cousin et l'ancêtre commun (la différence entre les générations dont les cousins sont issus).

Les cousins plus âgés (en d'autres termes, les cousins des parents), bien que techniquement cousins après la suppression, sont souvent classés comme "tantes" et "oncles".

Les anglophones marquent les relations matrimoniales (à l'exception de la femme/mari) avec la balise "-in-law". La mère et le père du conjoint de quelqu'un deviennent la belle-mère et le beau-père de quelqu'un; la femme du fils de quelqu'un devient la belle-fille de quelqu'un et le mari de la fille de quelqu'un devient le gendre de quelqu'un. Le terme "belle-soeur" fait référence à deux relations sensiblement différentes: soit la femme du frère, soit la sœur du conjoint. "Beau-frère" est le mari de la sœur de quelqu'un ou le frère de l'épouse de quelqu'un. Les termes "demi-frère" et "demi-soeur" désignent les frères et sœurs qui n'ont qu'un seul parent biologique. Le terme "tante dans la loi" fait référence à la tante du conjoint. "Oncle dans la loi" est l'oncle du conjoint/conjoint. Un "cousin" est le conjoint du cousin de quelqu'un ou la cousine du conjoint de quelqu'un. Le terme "nièce" fait référence à la femme du neveu de quelqu'un. "Neveu dans la loi" est le mari de la nièce de quelqu'un. Les grands-parents du conjoint de quelqu'un deviennent les grands-parents de quelqu'un; la femme du petit-fils de quelqu'un devient la petite-fille de quelqu'un et le mari de la petite-fille de quelqu'un devient le petit-fils de quelqu'un. Avec la suppression ultérieure du sujet pour les tantes et les oncles et le parent pour les nièces et neveux, le préfixe "grand-" change ces conditions. Lors de la suppression ultérieure du préfixe devient "Pra-Pra-", en ajoutant un autre "Pra-Pra-" pour chaque génération suivante. Pour un grand nombre de générations, le nombre peut être remplacé, par exemple, par "quatrième arrière-petit-fils", "quatre fois grand-petit-fils" ou "quatre fois arrière-petit-fils". En anglais indien, un parent légal qui est le conjoint de votre frère ou de votre sœur peut être appelé un Co-frère (en particulier une Co-soeur ou un Co-frère).

Au sein d’une famille de groupe, la cohabitation a eu lieu pendant une période ou une autre, ce qui a progressivement conduit à la Constitution d’une famille de couple plus ou moins stable. Cependant, cette famille, qui réunissait un couple marié, n'était pas une cellule économique de la société. À l'époque de la communauté ancestrale primitive (paléolithique tardif et néolithique), le niveau de développement de la production, l'armement technique de l'homme dans sa lutte contre la nature étaient encore trop bas pour que la famille jumelle puisse mener l'économie de manière indépendante. La cellule économique de la société est restée la famille ou, plus tard, sa grande subdivision – la grande famille maternelle, englobant 4-5 générations de parents féminins (hommes et femmes avec descendance) et dirigée par une femme plus âgée. Les données ethnographiques des siècles 19-20 parlent de tribus archaïques d'Amérique, de Mélanésie et d'Asie du Sud-est.

Initialement, les conjoints ne se sont même pas installés ensemble, continuant à vivre dans leurs groupes ancestraux (règlement dislocal) et se rencontrant épisodiquement. Plus tard, avec l'épanouissement de la famille maternelle et le passage au mariage matrilocal, le mari est passé à la résidence dans la famille de la femme, mais les biens personnels des époux sont restés séparés et, souvent, pour les dommages causés aux biens de la femme, la famille du mari devait être calculée avec sa famille. Dans ces conditions, l'Union des époux dans la famille jumelle était très fragile et facilement résiliable; les enfants n'appartenaient qu'à la mère et à sa famille. Les vestiges de la famille de groupe ont été largement et fermement conservés: sororat, la cohabitation d'une femme avec les frères de son mari et, en fait, la polyandrie (polyomamie).

Un exemple classique d'une famille jumelle (selon L. G. Morgan) est la famille iroquoise au 17ème siècle.la famille Jumelle occupait une pièce séparée dans l'immense maison communautaire de la famille mère – «ovachira». Elle ne menait pas une ferme séparée; elle n'avait pas sa propre parcelle dans la terre de la grande famille maternelle, les stocks étaient stockés dans un garde-manger commun, la nourriture était préparée dans plusieurs chaudières communes. Les femmes dans cette maison étaient les maîtres, les enfants appartenaient à leur famille, les hommes étaient considérés comme des invités. Des ordres similaires ont été observés chez les Mélanésiens; la grande famille maternelle a longtemps survécu en Indonésie (par exemple, chez Minangkabau), en Inde (chez les nayars), en Afrique (chez les Ashanti).

Au début de l'âge du bronze, les forces productives accrues ont créé des conditions connues pour la vie économique des groupes numériquement plus petits que la communauté ancestrale. L'émergence de la première division sociale du travail, la formation de la propriété séparée de la famille, l'augmentation du rôle économique de l'homme ont conduit à la désintégration de la famille maternelle et à sa transformation en paternelle, à la conception d'une grande famille patriarcale. Une telle famille était une forme de transition d'une famille matriarcale jumelée et grande d'un système ancestral développé à une famille monogame d'une société de classe.

La transition vers la famille patriarcale a été marquée par l'approbation du compte paternel de la parenté, du mariage patrilocal et de la monogamie, de la connexion durable des époux entre eux et avec leur progéniture, de l'établissement du pouvoir du mari sur les enfants et la femme, pour lesquels une rançon spéciale a été payée (veno – chez les slaves, kalym – chez les peuples turcs, lobola – chez les peuples vantous en Afrique). En tant que forme secondaire, la polygamie (polygynie) est apparue, constituant le privilège des hommes riches. Cependant, le couple séparé n'était toujours pas la cellule économique de la société, il s'agissait d'une grande famille patriarcale composée de 3 à 4 générations de parents proches avec leurs épouses, leurs enfants et leurs fils mariés. Il y avait aussi souvent des esclaves patriarcaux. La famille patriarcale était basée sur la propriété collective des moyens de production, du travail collectif et de la consommation; dans la propriété personnelle des membres de la famille, il n'y avait que des objets d'usage individuel – vêtements, armes, etc. peut – être plus ou moins démocratique, mais la tendance générale de son développement était de renforcer le rôle du chef de famille (généralement le grand-père, le père, le frère aîné).

La patrilinéarité, également appelée lignée masculine ou parenté agnatique, est une forme de système de parenté dans lequel l'appartenance d'une personne à une famille découle de la lignée de son père. Cela implique généralement l'héritage de biens, de droits, de noms ou de titres par des personnes liées par la filiation masculine.

La patreline ("lignée paternelle") est le père de l'homme et des ancêtres supplémentaires qui ne sont tracés que par la lignée masculine. Ainsi, la patrilinéarité d'un homme est un enregistrement de l'origine d'un homme dans lequel les individus de toutes les générations suivantes sont des hommes. En Anthropologie culturelle, la patrilinéarité est un groupe de consanguinité entre un homme et une femme, dont chacun des membres provient d'un ancêtre commun à travers des ancêtres masculins.

La matrilinéarité est une forme de système de parenté dans lequel l'appartenance d'une personne à une famille découle de l'ascendance de sa mère et est tracée à travers elle.

Un exemple ethnographique d'une grande famille qui n'a pas encore perdu le début de la démocratie communautaire primitive était représenté par le zadruga des slaves du Sud, le pouvoir suprême dans lequel appartenait au conseil de tous les hommes et femmes adultes, qui a élu le chef de maison.

«Le mariage par paires est une forme de mariage qui existait sous le système primitif communautaire, associée au développement du matriarcat. Au fur et à mesure que la société évoluait, le mariage se réduisait au cercle de ceux qui se mariaient; la cohabitation en couple, qui, dans les premiers stades de l'ordre communautaire primitif, n'était que très brève dans le mariage de groupe, devenait la principale forme de mariage à l'apogée de l'ordre communautaire primitif. Étant déjà monomarié, la famille dans le mariage conjugal, cependant, n'était pas une cellule économique de la société. Chaque membre du couple a continué à être étroitement lié à sa communauté ancestrale. Le couple marié ne menait pas une économie séparée, n'avait pas de propriété. À cet égard, ce mariage n'était pas durable, la cohabitation conjugale était facilement résiliable. Les enfants étaient liés à la communauté ancestrale de la mère et y restaient en cas de dissolution du mariage. C'était un mariage de couple chez les australiens, ainsi que chez les Iroquois et de nombreuses autres tribus indiennes aux siècles 18-19. Étant donné que le mariage conjugal est né dans une communauté matriarcale où les femmes jouaient un rôle important dans la production, la femme était égale à son mari et occupait une position élevée. La transition du mariage conjugal à la monogamie avec la forme intermédiaire de la famille patriarcale est due au début de la décomposition de la communauté primitive, à l'émergence de la propriété privée, ce qui a entraîné la séparation de la famille de la famille et la transformation de la famille en une cellule indépendante avec l'autorité du père de la famille – propriétaire» (tikhomirov AE, le concept de matriarcat. "Litres", Moscou, 2023, P. 2).

Cela peut également être corrélé à un système social dans lequel chaque individu est identifié à sa matrilinéarité – l'ascendance de sa mère – et qui peut inclure l'héritage de biens et de titres. La matrilinéaire est la lignée d'origine d'un ancêtre féminin à un descendant dans lequel les individus de toutes les générations suivantes sont des mères – en d'autres termes, la "lignée maternelle".

Dans le système d'origine matrilinéaire, un individu est considéré comme appartenant au même groupe d'origine que sa mère. Ce modèle d'origine matrilinéaire diffère du modèle d'origine patrilinéaire plus courant.

L'origine bilatérale est une forme de système de parenté dans lequel l'appartenance d'une personne à une famille découle à la fois de la lignée paternelle et de la lignée maternelle. Les parents de la mère et du père sont tout aussi importants pour les liens émotionnels ou le transfert de propriété ou de richesse. Il s'agit d'un accord familial dans lequel l'ascendance et l'héritage sont transmis de manière égale par les deux parents. Les familles qui utilisent ce système suivent l'ascendance des deux parents en même temps et reconnaissent plusieurs ancêtres, mais contrairement à l'ascendance cognitive, il n'est pas utilisé pour former des groupes d'ascendance.

En raison de la victoire du Patriarcat, la croissance des forces productives, exprimée dans la montée de toutes les branches de l'activité économique, le développement des échanges, la naissance de la production de marchandises, a provoqué la désintégration rapide du système communautaire primitif. En plus de la propriété séparée de la communauté familiale, la propriété privée a commencé à être renforcée, dont le porteur est devenu une famille séparée (petite, individuelle) composée uniquement de parents et de leurs enfants. Les chefs de familles individuelles cherchaient à devenir des administrateurs à part entière de leur part dans la propriété commune, à se démarquer, à devenir indépendants. La dissolution de la famille patriarcale, qui libérait la propriété privée des liens communautaires-ancestraux qui freinaient son développement, était à ce stade une conséquence inévitable de l'application de la loi sur la conformité obligatoire des relations de production au caractère des forces productives. Se démarquant de la famille patriarcale, la famille séparée est devenue la principale économie, la cellule de la société, et en même temps la première forme de famille, qui était basée non pas sur les conditions naturelles, mais sur les conditions économiques – c'est la victoire de la propriété privée sur la propriété commune d'origine, naturellement développée. Dans la nouvelle famille, l'ordre monogame a trouvé son expression ultérieure et définitive: le mari est devenu un Seigneur unique et incontrôlable. Dans cette forme, la famille en tant que cellule de la société et entre dans la société de classe – le système esclavagiste.

On le trouve traditionnellement dans certains groupes en Afrique de l'ouest, en Inde, en Australie, en Indonésie, en Mélanésie, en Malaisie et en Polynésie. Les anthropologues pensent qu'une structure tribale basée sur des origines bilatérales aide les membres de la tribu à vivre dans des conditions extrêmes, car elle permet aux individus de compter sur deux groupes de familles (fratries) dispersés sur un vaste territoire.

La notion de famille

Une famille est un groupe de personnes liées soit par le sang (naissance reconnue), soit par l'intimité (mariage ou autre relation). Elle constitue le fondement de l'ordre social. L'objectif de la famille est de préserver le bien-être de ses membres et de la société dans son ensemble. Idéalement, les familles offrent prévisibilité, structure et sécurité à mesure que leurs membres grandissent et apprennent à participer à la vie de la communauté. Historiquement, la plupart des sociétés humaines utilisent la famille comme principal lieu d'attachement, d'éducation et de socialisation. Les anthropologues classent la plupart des organisations familiales comme matrilocales (mère et ses enfants), patrilocales (père et ses enfants), matrimoniales (couple marié avec enfants, également appelé famille nucléaire), paternelles (homme, sa sœur et ses enfants) ou élargies (en plus des parents et des enfants, peuvent inclure les grands-parents, les tantes, les oncles ou les cousins).

Le domaine de la Généalogie vise à retracer l'ascendance de la famille tout au long de l'histoire. La famille est également une unité économique importante étudiée dans le cadre de l'économie familiale. Le mot " famille "peut être utilisé au sens figuré pour créer des Catégories plus inclusives telles que les communautés, les États, et"village global".

L’une des principales fonctions de la famille est de fournir les bases de la production et de la reproduction biologiques et sociales. Cela peut se produire par le partage de biens matériels (tels que la nourriture); fournir et recevoir des soins et de l'éducation (nourrir la parenté); droits et responsabilités juridiques; et des liens moraux et sentimentaux. Ainsi, l'attitude d'une personne envers sa famille change avec le temps. Du point de vue des enfants, la famille est une "famille d'orientation": la famille sert à l'insertion sociale des enfants et joue un rôle important dans leur inclusion dans la culture et la socialisation. Du point de vue du (des) parent (s), la famille est une "famille de procréation" dont le but est de produire, d'intégrer la culture et de socialiser les enfants. Cependant, la production des enfants n'est pas la seule fonction de la famille; dans les sociétés où la division sexuelle du travail, le mariage et les relations qui en découlent entre deux personnes, cela est nécessaire pour créer un ménage économiquement productif.

Cependant, le concept occidental de famille est ambigu et confondu avec le ménage, ce qui se manifeste dans les différents contextes dans lesquels le mot est utilisé. Cependant, cette confusion n'est pas fortuite, mais témoigne de l'idéologie familiale des pays capitalistes et occidentaux, qui adoptent une législation sociale insistant sur le fait que les membres d'une famille nucléaire doivent vivre ensemble et que ceux qui ne sont pas liés par de tels liens ne doivent pas vivre ensemble; malgré les pressions idéologiques et juridiques, un grand pourcentage

Bien que les premiers anthropologues et sociologues culturels occidentaux croyaient que la famille et la parenté étaient universellement associées à des relations de "sang" (basées sur des idées communes dans leurs propres cultures), des recherches plus récentes ont montré que de nombreuses sociétés comprennent plutôt la famille par le biais d'idées de cohabitation, de partage de nourriture (par exemple, la parenté laitière) et Les sociologues s'intéressent particulièrement aux fonctions et au statut des formes familiales dans les sociétés stratifiées (en particulier dans les sociétés capitalistes).

Dans certaines conditions spécifiques et historiques (ralentissement du développement de la production, domination de l'économie de subsistance, caractéristiques des relations foncières), la famille patriarcale est souvent préservée dans une société de classe. Dans ce cas, il est imprégné par les principes de classe, dans certains cas, le pouvoir despotique illimité du chef de famille, qui est devenu le propriétaire privé de tous les biens est établi. Un exemple d'une telle famille est un ancien nom de famille romain avec son père de famille tout-puissant. En plus de la famille patriarcale, d'autres vestiges des relations familiales communautaires primitives sont souvent conservés dans la société de classe, subissant une transformation correspondante: polygamie, lévirat, mariage cousin.

La petite famille monogame était la forme dominante de la famille dans les formations socio-économiques esclavagistes, féodales et capitalistes. Tout au long de l’histoire, la position dominante dans la famille de l’homme, qui est généralement un travail productif, et la position subjuguée et subordonnée de la femme, découlant de son rôle dans l’économie, sont demeurées inchangées. Dans les siècles 18-20. le mouvement féministe gagne en force: le désir d'égalité des femmes avec les hommes dans tous les domaines de la société.

La position de classe des parties était d'une grande importance lors des mariages. À l'époque médiévale, le mariage pour le Seigneur féodal était une transaction politique avec laquelle ils cherchaient à augmenter leur pouvoir et à renforcer ou à établir de nouveaux liens politiques. Les intérêts politiques et économiques n’étaient pas tant des sympathies personnelles que des intérêts politiques et économiques. Même dans la famille des citadins et des artisans au moyen âge, lors de la Conclusion du mariage, les intérêts de la famille étaient principalement pris en compte, limités par diverses règles d'atelier. À l'ère du capitalisme, la Conclusion du mariage, en particulier dans le milieu de la bourgeoisie, est souvent devenue dépendante de la situation économique des futurs époux. Selon les travaux des érudits Max Weber, Alan McFarlane, Stephen Ozment, Jack Goody et Peter Laslett, l'énorme transformation qui a conduit au mariage moderne dans les «démocraties occidentales» a été alimentée par un système de valeurs religieuses et culturelles représenté par des éléments du judaïsme, du christianisme primitif, du droit canonique catholique romain et de la réforme protestante.

Historiquement, le type de famille le plus commun était celui dans lequel les grands-parents, les parents et les enfants vivaient ensemble. Par exemple, un ménage peut comprendre les propriétaires d’une ferme, un (ou plusieurs) de leurs enfants adultes, le(s) conjoint (s) d’un enfant adulte et les propres enfants de l’enfant adulte (petits-enfants des propriétaires). Les membres de la famille élargie ne sont pas inclus dans ce groupe familial. Parfois, les familles de la génération "manquée", telles que les grands-parents vivant avec leurs petits-enfants, sont incluses.

Aux États-Unis, cet ordre a décliné après la Seconde guerre mondiale, atteignant un minimum en 1980, alors qu'environ un américain sur huit vivait dans une famille multigénérationnelle. Depuis lors, leur nombre a augmenté et, en 2016, une personne sur cinq aux États-Unis vit dans une famille multigénérationnelle. La popularité croissante est en partie due aux changements démographiques et aux changements économiques liés à la génération Boomerang.

À l'époque Soviétique, il a été affirmé qu'en URSS, les relations conjugales fondées sur la propension réciproque des personnes qui se marient étaient plus fréquentes parmi les travailleurs, principalement des couches prolétariennes de la population. Et la famille dans la société socialiste était une cellule de l'éducation communiste des gens. Les relations entre les membres de la famille reposaient sur les principes de l'amour mutuel, de l'égalité de l'homme et de la femme, de l'unité des intérêts de l'individu et de la société, de la coopération professionnelle et de la mise en œuvre de l'assistance mutuelle. La famille dans l'état soviétique était entourée d'une attention toute particulière. Prendre soin de la famille et de son renforcement a toujours été l'une des tâches les plus importantes de l'état soviétique. L’état a fourni aux familles une aide matérielle diversifiée: un vaste réseau d’institutions de protection de la maternité et de l’enfance, des allocations aux mères et d’autres formes d’assistance.

Le terme "famille nucléaire" est généralement utilisé pour désigner les familles matrimoniales. La famille" conjugale " ne comprend que les conjoints et les enfants non mariés qui n'ont pas atteint l'âge de la majorité. Une famille monoparentale est composée d'un parent unique avec ses enfants, où le parent est veuf, divorcé (et ne s'est pas remarié) ou n'a jamais été marié. Un parent peut avoir la garde exclusive des enfants, ou les parents séparés peuvent avoir un accord de coparentalité dans lequel les enfants partagent leur temps (peut-être également) entre deux familles monoparentales différentes ou entre une famille monoparentale et une famille mixte. Par rapport à la garde individuelle, le bien-être physique, mental et social des enfants peut être amélioré grâce à la coparentalité et au fait que les enfants ont un meilleur accès aux deux parents. La plupart des familles monoparentales sont dirigées par la mère, mais le nombre de familles monoparentales dirigées par le père augmente.

Le terme "famille élargie" est également courant, en particulier aux États-Unis. Ce terme a deux significations différentes:

1.      Il sert de synonyme de " famille de sang "(sang signifie"sang unique").

2.      Dans les sociétés dominées par la famille conjugale, cela fait référence aux "parents" (un réseau égocentrique de parents au-delà du groupe familial) qui n'appartiennent pas à la famille conjugale.

Ces types se réfèrent aux structures idéales ou normatives rencontrées dans certaines sociétés. Dans toute société, il y aura des différences dans la composition réelle et la conception des familles.

Historiquement, les familles élargies ont été la principale cellule familiale dans la culture et les pays catholiques (tels que l'Europe du Sud et l'Amérique latine), ainsi que dans les pays asiatiques, du moyen-Orient et orthodoxes orientaux.

Le terme "famille mixte" ou " famille d'accueil décrit les familles avec des parents mixtes: l'un ou les deux parents se sont remariés, ce qui a amené les enfants de l'ancienne famille à entrer dans une nouvelle famille. Toujours en sociologie, en particulier dans les travaux du psychologue social Michael Lamb, la famille traditionnelle fait référence à une famille de classe moyenne avec un père qui gagne sa vie et une mère au foyer qui se marient et élèvent leurs enfants biologiques, tandis que la famille non traditionnelle fait référence à des exceptions à cette règle. La plupart des ménages américains sont actuellement non traditionnels selon cette définition. Les critiques du terme "famille traditionnelle" soulignent que, dans la plupart des cultures et dans la plupart des cas, le modèle le plus courant était la famille élargie plutôt que la famille nucléaire, bien qu'il ait une tradition plus longue en Angleterre que dans d'autres régions d'Europe et d'Asie qui ont contribué à l'afflux d'un grand nombre La famille nucléaire est devenue la forme la plus répandue aux États-Unis dans les années 1960 et 1970.

En ce qui concerne les modèles de communication au sein des familles, il existe un certain ensemble de croyances au sein de la famille qui reflètent la façon dont ses membres devraient communiquer. Ces modèles de communication familiale découlent de deux ensembles de croyances de base. La première est l'orientation vers la communication (la mesure dans laquelle l'importance de la communication est valorisée) et la seconde est l'orientation vers la conformité (la mesure dans laquelle les familles doivent mettre l'accent sur les similitudes ou les différences en ce qui concerne les attitudes, les croyances et les valeurs).

Les familles mixtes sont des familles complexes allant des familles adoptives aux familles vivant en communauté (une personne vivant avec des tuteurs qui ne sont pas mariés à des demi-frères et sœurs). Bien que cela ne soit pas trop différent des familles d'accueil, les familles cohabitantes ont un impact psychologique important sur les jeunes. Certains adolescents ont tendance à être «délinquants» et éprouvent des problèmes à l'école, allant d'une baisse des résultats scolaires à un comportement problématique accru. Cela coïncide avec d'autres études sur les trajectoires de développement des familles d'accueil, où certaines avaient des antécédents familiaux et d'autres manquaient de liens. Le détachement émotionnel des membres des familles d'accueil exacerbe cette incertitude, exacerbant les tensions qui peuvent survenir dans ces familles. Le passage de l'ancienne famille à la nouvelle famille, qui relève de la catégorie des familles mixtes, peut également devenir problématique, car les actions qui ont déjà été effectuées dans l'ancienne famille peuvent être mal transmises aux adolescents de la nouvelle famille.

La famille monogame est basée sur la monogamie juridique ou sociale. Dans ce cas, l'individu n'a qu'un seul partenaire (officiel) au cours de sa vie ou à un moment donné (c'est-à-dire la monogamie en série). Cela signifie qu'une personne ne peut pas avoir plusieurs conjoints légaux différents en même temps, car cela est généralement interdit par les lois sur la bigamie (l'acte de se marier avec une personne tout en étant légalement marié à une autre) dans les juridictions qui exigent des mariages monogames.

La polygamie est un mariage qui comprend plus de deux partenaires. Lorsqu'un homme est marié à plus d'une femme à la fois, cette relation est appelée polygynie; et lorsqu'une femme est mariée à plus d'un mari à la fois, c'est ce qu'on appelle la polyandrie. Si plusieurs Maris et épouses sont impliqués dans le mariage, il peut être appelé polyamour, mariage de groupe ou conjoint.

La polygynie est une forme de polygamie dans laquelle un homme est autorisé à avoir plus d'une femme. Dans les pays modernes qui autorisent la polygamie, la polygynie est généralement la seule forme autorisée. La polygynie est née dans les steppes, les déserts, où il est nécessaire de errer constamment pour chercher de la nourriture et de l'eau, laisser des femmes et des enfants pendant longtemps était dangereux, car ils pourraient être attaqués par des animaux sauvages ou des hommes armés. La polygamie est pratiquée principalement (mais pas seulement) dans certaines parties du Moyen-Orient et de l'Afrique; il est souvent associé à l'Islam, mais il existe certaines conditions dans l'Islam qui doivent être remplies pour accomplir le mariage plural.

La polyandrie est une forme de mariage dans laquelle une femme prend deux Maris ou plus en même temps. La polyandrie fraternelle, lorsque deux frères ou plus sont mariés à la même femme, est une forme courante de polyandrie. La polyandrie était traditionnellement pratiquée dans les régions des montagnes de l'Himalaya, chez les tibétains au Népal, dans certaines parties de la Chine et dans certaines parties du Nord de l'Inde et du Bhoutan. La polyandrie est la plus fréquente dans les sociétés où la mortalité masculine est élevée ou où les hommes sont souvent séparés du reste de la famille pendant une longue période, parce qu'ils doivent rester longtemps pour trouver de la nourriture pour la famille et qu'il est extrêmement inconfortable de se déplacer dans les montagnes avec la famille, de sorte que la femme reste dans un endroit isolé où elle et ses enfants sont gardés par les Maris restants, généralement des frères.

Problèmes psychologiques de la formation de la famille

Un autre enseignant soviétique bien connu, A. S. Makarenko (1888-1939), a écrit que si, en grandissant, l'enfant n'apprend pas à aimer ses parents, ses frères et sœurs, son école, sa Patrie, si dans son personnage sont élevés les débuts de l'égoïsme profond, il est très difficile de s'attendre à ce qu'il puisse aimer profondément la femme qu'il a choisie, et un autre enseignant soviétique bien connu, V. A. sukhomlinsky (1918-1970) a à juste titre affirmé qu'il n'y a pas de «science de l'amour» spéciale-il y a la science de l'humanité.

Selon certains psychologues, une condition nécessaire pour un mariage heureux: se concentrer sur une autre personne, ce qui implique la capacité et le désir de comprendre les gens qui l'entourent, de prendre en compte leurs intérêts, leurs goûts et leurs habitudes. Cette orientation est la base de l'orientation collectiviste de l'individu et est naturellement formée au cours de l'éducation du collectivisme. Ces qualités peuvent être reconnues comme des pierres angulaires particulières de la personnalité d'un homme de famille. Cependant, la liste des caractéristiques de l'entrepôt psychologique nécessaire pour atteindre la préparation à la vie de famille, il s'avère, il est clair, beaucoup plus large. Il s’agit notamment de la volonté d’assumer un nouveau système de responsabilités vis-à-vis de son partenaire matrimonial et de ses futurs enfants et de la responsabilité de leur comportement; du respect des droits et des vertus des autres membres de l’Union familiale; de la reconnaissance du principe de l’égalité dans les relations humaines; de la préparation à la communication et à la coopération interhumaines, de l’harmonisation des interactions, ce qui implique à son tour une culture morale élevée; de la capacité de s’adapter aux habitudes et aux traits de caractère d’autrui et de la compréhension de ses mouvements et de ses États spirituels.

Ces exigences sont mises en œuvre dans différentes familles à des degrés divers. Les chercheurs ont introduit le concept de capacité à se marier, en supposant plusieurs termes. C'est la capacité de prendre soin d'une autre personne, de la servir de manière désintéressée, de faire du bien. La capacité de sympathiser, d'empathie, de compassion, c'est-à-dire d' «entrer» dans le monde émotionnel d'un autre partenaire, de comprendre ses joies et ses peines, ses expériences et ses échecs, ses défaites et ses victoires, de trouver une Union spirituelle avec une autre personne. Capacité de coopération, de communication interhumaine, de compétences et de compétences dans de nombreux types de travail, d'organisation de la consommation et de la distribution domestiques. Une culture éthique élevée, impliquant la capacité d'être tolérant et condescendant, généreux et gentil, d'accepter une autre personne avec toutes ses bizarreries et ses défauts, de supprimer son propre égoïsme. Toutes ces capacités sont des indicateurs de la capacité d'une personne à changer rapidement son comportement en fonction des circonstances changeantes, à faire preuve de tolérance, de résilience et de prévisibilité de son comportement, à faire des compromis.

Il est nécessaire que les gens comprennent l'essence sociale de la famille, c'est-à-dire que, étant essentiellement un phénomène social, elle obéit pleinement aux lois de la vie sociale. Le fait est que le point de départ de la préparation d'une personne au mariage et à la famille est la compréhension active de l'importance sociale de ses actions, de certaines obligations les unes envers les autres, de la responsabilité de la famille et des enfants, de l'acceptation volontaire des problèmes inévitables dans la vie de famille et de la restriction de la liberté personnelle. Malheureusement, la compréhension de ce n'est pas toujours caractéristique des jeunes hommes et des filles modernes, ce qui explique pourquoi le passage de relations informelles, basées uniquement sur les émotions de l'amour et de la parade nuptiale à des relations formelles, suffisamment réglementées et, surtout, obligatoires des conjoints en tant que partenaires conjugaux est associé à des difficultés importantes, principalement purement psychologiques – une conscience douloureuse de la nouveauté et de la complexité de la situation, une restructuration douloureuse de son comportement et de celui de quelqu'un d'autre, ainsi qu'un sentiment désagréable de prédestination et de détermination.

La famille est un système historiquement spécifique de relations entre les époux, les parents et les enfants; un petit groupe dont les membres sont liés par des relations matrimoniales ou familiales, une communauté de vie et une responsabilité morale mutuelle, dont la nécessité sociale est due à la nécessité de la société pour la reproduction physique et spirituelle de la population et de la main-d'œuvre. Et comprendre que la spécificité historique de la famille réside dans le fait qu'elle change avec le temps, s'adaptant à l'évolution des relations sociales (bien qu'elle soit l'une des institutions sociales les plus stables); que le système de relations est mentionné dans la mesure où il y en a beaucoup dans la famille; qu'un petit groupe de; et, enfin, il est presque important que la nécessité sociale dans la famille est vraiment là, car elle disparaîtra, l'existence même de l'humanité sera menacée.

Les questions psychologiques liées au renforcement de la responsabilité des jeunes vis-à-vis de la vie matrimoniale et familiale comprennent l'augmentation du prestige social de la paternité et de la maternité; l'amélioration de la préparation psychologique des garçons et des filles au mariage; la mise à leur disposition des connaissances nécessaires en matière d'hygiène et de soins aux enfants, de Psychologie préscolaire, de Psychologie de l'enfant, de psychohygiene de la vie sexuelle, des principaux problèmes des relations entre les conjoints; la mise en évidence des questions de la gestion la plus rationnelle du ménage et de l'organisation efficace et économique du budget de la famille. Il est certain que tous ces défis doivent être résolus pour que les jeunes soient prêts à vivre dans la famille. Voici les domaines les plus importants pour la pédagogie scolaire de la préparation des élèves du secondaire au mariage: une prise de conscience Active de l'essence sociale de la famille et des conséquences qui en découlent pour la vie personnelle. L'éducation et l'auto-éducation sont nécessaires à la vie dans le mariage. Formation de représentations matrimoniales et familiales adéquates. Assimilation d'une certaine quantité de connaissances en Psychologie et en sociologie du mariage et de la famille.

À cet égard, tout en expliquant l'essence psychologique de la famille, il convient d'attirer constamment leur attention sur l'importance sociale durable des deux fonctions principales de la famille – la reproduction et l'éducation (reproduction physique et spirituelle de la population), en insistant sans relâche sur le fait que ce n'est qu'au sein de la famille qu'elles sont capables de s'acquitter pleinement et naturellement. Les jeunes hommes et les jeunes filles doivent être suffisamment conscients de la vérité difficile, jusqu'à la fin comprise seulement dans les années d'âge mûr – que la définition du mariage et de la famille est une limitation consciente de soi.

Le besoin de se voir dans l'avenir auto-réalisé, aimé et heureux est naturel et naturel pour tous ceux qui se trouvent au seuil de l'âge adulte, mais tout rêve n'est utile et réalisable que dans les cas où il est soutenu par un plan d'action réel, y compris, en plus des objectifs souhaités, les voies et les moyens de

Cependant, ces connaissances très abstraites ne suffiront pas à elles seules à prendre conscience de la responsabilité de la famille si les garçons et les filles ne maîtrisent pas le sens sociopsychologique des lois de la vie sociale et les mécanismes qui en découlent pour réguler le comportement social des individus. Ce sens est la nécessité d'effectuer – assez défini, et surtout, en accord avec d'autres façons – certaines fonctions intra – familiales, dont le nom est Légion (il s'agit de nombreuses affaires économiques et domestiques et de problèmes liés au maintien de l'activité vitale de la famille). Après tout, l'existence même de la société est finalement déterminée par la précision et l'exhaustivité des personnes qui la composent accomplissent les tâches qu'elles servent tout au long de leur vie.

Pour désigner les exigences sociales associées à ces fonctions (que tout le monde doit obéir), et en même temps les modèles normatifs de comportement, les psychologues sociaux ont inventé, peut-être pas tout à fait réussi, mais le terme «rôle social»a longtemps pris racine. Son échec est surtout dû à la «théâtralité» tangible du terme et à l'hypothèse suivante, pas très agréable, que nous ne vivons pas, mais que nous jouons. Cependant, les limites du comportement «correct» ne sont pas aussi strictes qu'il n'y paraît. En remplissant des fonctions sociales, chacun de nous a le droit de réaliser son propre style d'exécution du rôle, montrant les caractéristiques uniques de sa personnalité.

La famille du point de vue de la société est sa micro-cellule et peut et doit être considérée précisément à partir d'une position fonctionnelle. Et peu importe combien le mari, la femme, les enfants et les proches s'aiment infiniment, la famille, en tant que communauté, doit également remplir certaines fonctions et «perdre» les rôles qui leur sont associés. Et il ya une interdépendance et une responsabilité mutuelle des «acteurs» du «théâtre» familial, dans lequel, comme dans la vraie action théâtrale, le mauvais geste et la mauvaise réplique déposée peuvent perturber toute la pièce.

«L'analogie avec le théâtre est assez appropriée ici. Ainsi, en tout cas, affirme le célèbre psychologue social E. Hoffman, qui a créé le soi – disant «concept de dramaturgie sociale», dont la base est une analogie presque complète entre la vie et le théâtre. Je suis allé à la salle de bain, et je suis allé à la salle de bain, et je suis allé à la salle de bain. Son essence est assez simple: c'est à l'Avance que se produisent des actions directement liées aux interactions de rôle «dans leur forme la plus pure» – avec des exigences très strictes pour l'exécution des rôles conformément aux attentes de rôle (les jeunes hommes et les filles peuvent être invités à se rappeler à quel point les gens se comportent correctement, Le comportement dans les Coulisses est également associé à la performance des rôles, mais seules les exigences pour le comportement de rôle sont beaucoup plus douces (c'est dans les Coulisses que les conjoints découvrent généralement leur relation, un Instant, si nécessaire, en revenant à l'Avance, en mettant immédiatement fin au conflit et en mettant un masque de cordialité, d'affabilité et d'amour mutuel, si à ce moment-là les invités ont accidentellement sauté). De tout cela, il s'ensuit deux points très importants, qui, à des degrés divers (le premier – dans le plus grand et le second – dans le plus petit), mais doivent nécessairement être compris par les élèves du secondaire. Le premier est que pour l'existence normale de la famille, il faut une certitude claire et la cohérence des droits et des devoirs des époux et la prise en compte des attentes des autres membres de la famille (et ce moment, et les conséquences qui en découlent sont si importants et complexes que nous reviendrons plus d'une fois sur tout cela dans les pages de notre livre). La seconde est liée au fait que parfois porter un masque associé au rôle est douloureusement difficile et que tout le monde a le droit d'être non seulement un fonctionnaire de rôle sans visage, mais aussi simplement lui-même. Et surtout – dans la famille, car les relations familiales sont basées sur l'Union de personnes uniques et uniques, et le rôle ne doit pas éclipser la personne qui la joue, l'unicité de sa personnalité. Dans le film, il est nécessaire de regarder en ligne d'excellente qualité et de comprendre ce qui se passe dans le film, et de comprendre ce qui se passe dans le film, et ce qui se passe dans le film, et ce qui se passe dans le film, et ce qui se passe dans le film, et ce qui se passe dans le film, et ce qui se passe dans le film, et ce qui se passe dans le film, et ce qui se passe dans le film, et ce qui se passe dans le film, et ce qui se passe dans le film, et ce qui se passe dans le film, et ce qui se passe dans le film, et ce qui se passe dans le film, et ce qui se passe dans le film…"(Kovalev S. V. la Psychologie de la famille moderne, "Illumination", Moscou, 1988, P. 7-8).

Le développement des conceptions matrimoniales et familiales des garçons et des filles comprend: la formation chez eux des conceptions correctes du rapport de l'amour au mariage, le dépassement des tendances de consommation à l'égard de la famille et du partenaire de vie, l'éducation du réalisme et de l'intégrité dans la perception d'eux-mêmes et des autres.

La notion de valeurs familiales

Les valeurs familiales, parfois appelées valeurs familiales, sont des valeurs traditionnelles ou culturelles qui se rapportent à la structure, aux fonctions, aux rôles, aux croyances, aux attitudes et aux idéaux de la famille. La notion de valeurs familiales peut également faire référence à la mesure dans laquelle les relations familiales sont valorisées dans la vie des gens. Dans les sciences sociales et le discours politique, le terme généralement accepté "famille traditionnelle" décrit une famille nucléaire – un environnement parental composé d'un père chef de famille, d'une mère chef de famille et de leurs enfants nominalement biologiques. Une famille qui s'écarte de ce modèle est considérée comme une famille non traditionnelle. Cependant, dans la plupart des cultures, dans la plupart des cas, le modèle de famille élargie était le plus répandu plutôt que la famille nucléaire, et la "famille nucléaire" est devenue la forme la plus répandue aux États-Unis dans les années 1960 et 1970.

Définir les "valeurs familiales" comme suit:

* les principes moraux et éthiques traditionnellement défendus et transmis au sein de la famille, tels que la fidélité, l'honnêteté, la vérité et la foi.

* les valeurs, en particulier les valeurs traditionnelles ou conservatrices, qui contribuent au bon fonctionnement de la famille et au renforcement de la structure de la société.

* valeurs traditionnellement enseignées ou renforcées au sein de la famille, telles que les normes morales et la discipline élevées.

C'est une idéologie qui place la famille et les valeurs familiales au premier plan. La famille préconise un système de sécurité sociale dans lequel les familles, et non le gouvernement, assument la responsabilité de prendre soin de leurs membres.

Aux États-Unis, les conservateurs sociaux ont utilisé le slogan "valeurs familiales" pour exprimer leur opposition à l'avortement, au contrôle des naissances, à la protection de l'environnement, au féminisme, à la pornographie, à l'éducation sexuelle complète, au divorce, homosexualité, mariage homosexuel, unions civiles, laïcité et athéisme.

En vertu de la loi fédérale sur la protection des enfants contre les informations préjudiciables à leur santé et à leur développement, qui est entrée en vigueur le 1er septembre 2012 (art. 5, par.5), les informations interdites à la diffusion des enfants comprennent, entre autres, les informations qui nient les valeurs familiales et créent une attitude irrespectueuse envers les parents et / ou les autres membres de la famille. La loi ne donne pas de définition des valeurs familiales.

En juillet 2022, les députés de la Douma d'Etat, exprimant leur inquiétude qu'il n'y ait pas d'interdiction en Russie de «la propagande de la négation des valeurs familiales», ont présenté un projet de loi dans lequel il est indiqué dans une Note explicative: «la Négation de la famille en tant que valeur publique, la propagande du soi-disant mode de vie «childfrey» (sans enfants) et la vulgarisation des relations sexuelles non traditionnelles sont tout aussi dangereuses pour le développement de la société russe» («un projet d'interdiction de la «propagande des relations non traditionnelles»a été présenté à la Douma d'Etat. RBC. 18 juillet 2022).

La Douma d'Etat le 14 juillet 2023, en séance plénière, a adopté en troisième lecture la loi interdisant le changement de sexe. La loi propose d’annuler le mariage si l’un des époux a changé de sexe. L’article 16 du code de la Famille, qui définit les conditions de résiliation du mariage, est modifié. Il est également prévu que s'il existe un certificat indiquant qu'il y a eu un changement de sexe, la personne sera interdite d'adopter des enfants. Il est à noter que les personnes qui ont changé de sexe avant le jour de l'entrée en vigueur de la loi sur l'interdiction du changement de sexe, ses normes ne s'appliqueront pas. Il est également introduit une règle selon laquelle un avis sur la correction ou la modification de l'enregistrement de l'acte d'état civil est établi par le bureau d'enregistrement dans le cas où «un rapport médical est présenté à la Commission médicale d'un organisme médical relevant de l'organe exécutif fédéral chargé de l'élaboration et de la mise en œuvre de la politique de l'état et de la réglementation juridique dans le domaine de la santé». Les interventions médicales, y compris l’utilisation de médicaments destinés à changer de sexe, sont également interdites. L'initiative a été présentée à la Douma d'Etat de la Fédération de Russie en mai par les députés des cinq factions de la Douma, dirigés par le président de la Douma, Vyacheslav volodine. La Douma d'Etat a également adopté en deuxième et troisième lecture de la loi, qui oblige les banques à rembourser les clients volés de leurs comptes de fonds.

Le ministère de l'éducation de la Fédération de Russie a soutenu l'idée d'introduire dans les écoles un module sur la famille. Il se tiendra dans le cadre du sujet «sciences Sociales». Les élèves seront informés des valeurs familiales et des aspects juridiques de la famille en tant qu'institution sociale. Auparavant, la présidente du Comité de la Douma d'Etat sur la famille, les femmes et les enfants Nina ostanina (KPRF) a proposé de consolider les valeurs traditionnelles dans le cadre du droit de la famille. Le député estime que les changements prévus par le projet de loi auront un impact positif sur les relations familiales, renforceront les droits et les libertés de l'homme, le patriotisme, motiveront au service de la patrie, à l'assistance mutuelle et au respect mutuel dans la famille, à la préservation de la mémoire historique, à la continuité des générations et à l'unité des peuples de la Russie. En 2022, les audiences tenues à la Douma d'Etat à l'initiative du président Vyacheslav volodin sur l'interdiction de l'information qui prône des valeurs sexuelles non traditionnelles ont rassemblé des citoyens et des politiciens qui ont approuvé sans équivoque les deux initiatives présentées à la chambre basse. «Le premier projet de loi a été présenté à la Douma d'Etat par un groupe de députés dirigé par le président du Comité des affaires familiales, des femmes et des enfants Nina Ostanina. Il vise à interdire le déni public des valeurs familiales parmi les citoyens de tout âge (la série conceptuelle correspondante est prescrite dans les lois sur la protection de l'information, sur la protection des enfants contre les informations nuisibles, sur le soutien de l'état au cinéma). L'auteur du deuxième document a été la licorne, chef du Comité sur la politique de l'information Alexander Hinstein: il a proposé d'établir des sanctions dans le code Administratif pour la propagande des valeurs sexuelles non traditionnelles parmi les citoyens de tout âge. Ce projet de loi a reçu un accueil favorable du gouvernement. La Douma d'Etat a adopté en première lecture un projet de loi interdisant la propagande des relations sexuelles non traditionnelles en Russie, y compris dans les médias, l'Internet, la publicité, la littérature et le cinéma» (tikhomirov AE, Confrontation avec «l'Occident collectif»: chronique de 2022. "Litres", Moscou, 2023, P. 223).

L'année 2024 en Russie sera l'année de la famille. Le décret sur sa tenue a été signé par le président de la Fédération de Russie Vladimir Poutine. Le document a été signé «afin de populariser la politique de l'état dans le domaine de la protection de la famille, la préservation des valeurs familiales traditionnelles». Le gouvernement est chargé de mettre en place un Comité organisation et approuver le plan action avant la fin du mois de décembre. Le président du Comité d'organisation a nommé le vice-premier ministre Tatiana Golikova.